Couac, vue de l'installation de Bruno Silva dans l'atelier de Hervé Bréhier, exposition collective en deux lieux, Clermont-Ferrand, 2016

 

Hervé et Bruno dans le métro : On fait quoi ? on fait quoik, puis couac couac, devient le titre. Pour la photo : On va se prendre les fesses en photo en terrasse !

 

Finalement, sobriété oblige, une écriture sur des lignes de cahier, couac pour Bruno et en dessous le couac d’Hervé, écriture au crayon gris sur lignes grises et papier blanc. Le début d’une partition avec comme sonorité un couacssement, en deux temps et simultané, échange de lieux, et de bons procédés pour ces deux oiseaux. A aller voir quoi qu’il arrive..

 

Anne Marie Rognon

Onomatopée taupée au creux d'une injonction dédoublée, bruit sec, le travail de l'un et de l'autre se reconnaît parce qu'il se niche au cœur d'une plaie, césure comme dit Saussure ; cassure, trouver la bonne à son pied, le sens du récit, de l'histoire, sans être littéral, vue sur mer sans littoral...

 

Martial Déflacieux

Couac, vue de l'installation de Hervé Bréhier à home alonE (chez Bruno), exposition collective Couac Couac, Clermont-Ferrand, 2016